Je reprends un exercice amorcé par Jean-François Quessy du blogue Un gars un père et je me trouve un mot-phare pour 2018. Le mien sera la confiance.
En quoi cela consiste, la confiance?
La base.
Et moi, depuis trop longtemps, je fais semblant de l’avoir.
« Oui, oui, j’ai confiance, c’est beau ».
Ma confiance, c’est le carton de lait que j’ai oublié d’acheter au marché.
« Oui, oui, je l’ai. J’arrive! »
Mon oeil!
Pour 2018, je vais m’en trouver tout plein, de la confiance! C’est en vente libre sur le net? Non. C’est à côté des friandises au dépanneur? Non. Ça pousse dans les arbres? Non.
La confiance, il paraît que c’est en moi. J’en ai utilisé beaucoup pour éduquer Laurent avec Sophie, ma femme. J’en ai aussi utilisé sans trop le savoir au hasard de mon emploi. Pour le reste…
Oui, pour le reste. Mes projets qui sommeille à 100 pieds sous un amas de peurs, de réciminations, de « peut-être que ce n’est pas une bonne idée », de « bien voyons donc tu va te péter la gueule avec ça », etc.
La confiance, je dois la retrouver. Juste pour montrer à mon fils que je suis fort. En fait, en ME montrant d’abord que je peux accomplir de grandes choses avec les talents QUE JE POSSÈDE et dont la confiance est le principal carburant. Ensuite, je pourrai mieux guider
Mention honorable à la santé. Avec un enfant autiste, c’est primordial, voire hors-concours.
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